// HERBERT BAGLIONE // 1977//Sao Polo//Brésil
Baglione renommé pour ses peintures murales placées sur des toits et des surfaces de la rue seulement visible des airs.
// BOXI // 1974//Kent//England
Voilà le streetart comme je l'aime où le paysage urbain complète et définit son action.
// BRED DOWNEY // 1980//Louisville//Kentucky//USA
Il laisse l'interprétation à l'individu des signaux et des systèmes qui dirigent le milieu urbain et déterminent nos mouvements autour de la ville.
// MARK JENKINS // 1970//Washington DC//USA
Jenkins croit que son travail déforme le tissu social de la ville.
// PUIS PORTMANN // 1974//Zug//Switzerland
Des gens et des lignes, une structure surréaliste donne pour résultat l'interaction de formes.
// MINKO REISSER aka DAIM // 1971//Lüneburg//Deutshland
// TILT // 1973//Toulouse//France
Surnommé le "fétichiste du graffiti"
// ZEVZ // 1977//Saverne//France
Je ne peux pas m'empêcher de vous assommer de texte seulement pour cette merveilleuse anecdote:
"J'ai été invité AU Sharjah Biennale en 2003 et par le N.G.B.K à Berlin en 2004.
The Visual Kidnapping Project, par exemple, a commencé dans la rue, sur Alexanderplatz à Berlin. J'avais enlevé la fille Lavazza sur le panneau publicitaire géant et avais demandé au propriétaire de l'image une rançon de 500,000 Euros. Cette somme représente symboliquement le prix d'une campagne publicitaire pour une société si énorme. C'était dans l'espace d'une galerie de Berlin que j'ai coupée le doigt de la fille pour l'envoyer au siège social de Lavazza en Italie.
Ensuite je l'ai caché dans les catacombes à Paris, je l’ai montré dans l'art et les musées, sur Internet et c'était finalement au Palais de Tokyo à Paris que la société a racheté son image en faisant une donation au musée.
Un projet peut se dérouler de différentes façons selon le contexte."
